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De la justification à la sanctification

La rose de Luther, un résumé de sa théologie

  • de la justification à la sanctificationLa croix noire, symbole de la croix de Jésus-Christ.
  • Au centre de la rose, elle rappelle l’importance centrale de la mort du Christ. En effet, c’est la foi en la mort de Jésus sur la croix et en sa résurrection qui justifie et sauve.
  • Le cœur rouge, symbole du cœur des chrétiens.Car la croix donne la vie au chrétien, qui à son tour doit aimer comme Jésus l’a aimé.
  • La rose blanche, symbole de la joie et de la paix. La foi procure joie, consolation, et paix du cœur.
  • Les flammes dorées, symboles du Saint-Esprit. L’Esprit éclaire le chrétien, et le pousse à aimer son sauveur et témoigner de sa foi.
  • L’arrière-plan bleu, symbole du ciel.La joie issue de la foi est le début d’une nouvelle vie qui continue au ciel. Il s’agit de l’idée chère à Luther du « déjà et pas encore ».
  • L’anneau d’or, symbole de l’éternité.Comme l’or qui ne rouille pas et qui est le plus précieux des métaux, il montre l’éternité de la vie céleste qui attend le chrétien.

D’après Wikipédia

Justification et sanctification au centre de la lettre aux Romains

Justification et sanctification sont deux réalités centrales de la lettre aux Romains et d’une vie chrétienne conséquente. Les deux notions sont étroitement liées. Après un rappel de ce qu’est la justification, le sujet de la sanctification sera développé, avec ses difficultés et ses applications pratiques.

En effet, si nous sommes devenus une même plante avec lui par la conformité à sa mort, nous le serons aussi par la conformité à sa résurrection, sachant que notre vieil homme a été crucifié avec lui, afin que le corps du péché soit réduit à l’impuissance, pour que nous ne soyons plus esclaves du péché ; car celui qui est mort est libre du péché.

Or, si nous sommes morts avec Christ, nous croyons que nous vivrons aussi avec lui, sachant que Christ ressuscité des morts ne meurt plus ; la mort n’a plus de pouvoir sur lui. Car il est mort, et c’est pour le péché qu’il est mort une fois pour toutes ; il est revenu à la vie, et c’est pour Dieu qu’il vit. Ainsi vous-mêmes, regardez-vous comme morts au péché, et comme vivants pour Dieu en Jésus Christ. Romains 6.5-11

1.  La justification

Le péché entraîne la peine capitale exigée par la justice de Dieu en vertu de sa loi sainte Le salaire du péché, c’est la mort. Romains 6.23

Culpabilité expiée par Jésus-Christ

Aucun homme ne peut affronter lui-même, expier cette culpabilité, payer cette dette devant la justice du Dieu trois fois saint. Jésus-Christ, Dieu fait homme, mais sans péché, a effectué cette expiation à la place du coupable.

Ainsi la justice de Dieu est satisfaite, puisque la culpabilité est expiée. Elle l’est pour quiconque croit cela, c’est à dire se saisit du bénéfice de cette substitution, pour être acquitté. Dans cet acte de foi il y a en fait plusieurs prises de position successives :

  • je reconnais que le verdict du Juge divin sur le péché est juste ;
  • je considère que la mort subie par Jésus à ma place est aussi ma mort au péché,
  • je me solidarise avec Jésus dans cette mort qu’il a subie volontairement pour moi;
  • cette solidarité avec la mort de Jésus m’entraîne dans la résurrection de Jésus, qui devient également réalité pour moi : Romains 6.11

Croire ce que Dieu dit de l’œuvre de Jésus au point d’en faire dépendre mon existence, c’est honorer Dieu, alors Dieu honore à son tour ma foi en lui donnant ce qu’elle croit :

  • il m’acquitte de ma culpabilité et me déclare juste ;
  • il me ressuscite spirituellement avec Jésus ;
  • il me donne ainsi une nouvelle vie et me fait changer d’identité (rebelle – enfant de Dieu) et de statut (coupable – déclaré juste).

Ainsi le péché est surmonté sur le plan légal par l’œuvre de Jésus et une décision juste de Dieu. Ce sont deux évènements fondamentaux auxquels j’accroche en quelque sorte ma vie par la foi. Dieu me fait la grâce de me considérer comme juste (sans culpabilité) et même comme saint (séparé du péché), c’est à dire  tel que je serai, quand il me prendra auprès de lui, alors que je sais, et lui aussi sait, que je chute encore. Quelle immense grâce !

2. La sanctification

Parvenu à ce point l’idée absolument évidente s’impose : ce nouveau statut extraordinaire que Dieu veut bien m’accorder par principe, il faut le faire entrer concrètement dans mon quotidien :

Nous qui sommes morts au péché, comment pourrions-nous encore vivre en lui ? …Romains 6.2

Vous êtes morts avec Christ, faites donc mourir …Colossiens  3.5.

Si donc vous êtes ressuscités avec Christ, cherchez les choses d’en haut, où Christ est assis à la droite de Dieu.Attachez-vous aux choses d’en haut, et non à celles qui sont sur la terre. Car vous êtes morts, et votre vie est cachée avec Christ en Dieu. Quand Christ, votre vie, paraîtra, alors vous paraîtrez aussi avec lui dans la gloire. Faites donc mourir ce qui, dans vos membres, est terrestre, la débauche, l’impureté, les passions, les mauvais désirs, et la cupidité, qui est une idolâtrie.  Colossiens 3.1-5

Ces derniers versets identifient clairement un premier champ moral d’application de la sanctification : le développement d’un caractère, d’un mode de penser et d’agir qui honore et reflète notre Sauveur.

Et là il faut être clair : beaucoup de systèmes moraux demandent d’abandonner les péchés connus, de pratiquer une discipline de l’âme et du corps, d’adopter une mentalité, un comportement corrects ; beaucoup de religions appellent à se consacrer à Dieu et au service de nos semblables.

Paul prononce des exhortations analogues, mais il n’abandonne pas ensuite son lecteur dans le dilemme de devoir réaliser une chose dont il sait qu’il n’a pas les moyens en lui-même.

D’abord première différence dans la motivation  : la gratitude

il ne s’agit pas d’obéir à des ordres, à un code moral froids et extérieurs à nous ; c’est le désir intérieur d’exprimer notre gratitude à notre Sauveur qui a payé de sa vie notre vie nouvelle. Ça, c’est le principe de base.

Puis une deuxième différence : de la domination du péché à l’autorité du Seigneur

Paul explique que par la foi en la mort de Christ pour nous, celui-ci a vaincu le péché comme puissance dominatrice. Ainsi nous sommes passés, par la foi toujours, de la domination du péché sous l’autorité de notre Seigneur qui nous aime.

Bien sûr, cela ne se voit et ne se sent pas, mais c’est un fait proposé à notre foi et alors nous partons au combat sur le terrain de la victoire : Romains 6.7,11.

La troisième différence : la présence du Saint-Esprit

Pour ce combat nous avons comme arme, en plus de notre sérieux et notre persévérance, la présence, la direction et les forces du Saint-Esprit. Une de ses missions est justement d’opérer notre sanctification avec nous 

Que le Dieu de paix vous rende lui-même entièrement saints et qu’il vous garde parfaitement esprit, âme et corps pour que vous soyez irréprochables lors de la venue de notre Seigneur Jésus-Christ.
1 Thessaloniciens 5.23-24

Qui accusera les élus de Dieu ? C’est Dieu qui justifie ! Qui les condamnera ? Christ est mort ; bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous ! Romains 8.33-34

Le quatrième atout : le pardon

Si nous chutons tout de même, il n’y a pas de raison de nous désespérer, nous pouvons demander et recevoir le pardon pour l’échec et un nouveau départ avec ses forces pour reprendre le même combat : 

Que le méchant abandonne sa voie, et l’homme d’iniquité ses pensées ; qu’il retourne à l’Éternel, qui aura pitié de lui, à notre Dieu, qui ne se lasse pas de pardonner. Esaïe 55.7

Réorientation de l’activité

Parallèlement au développement d’un caractère chrétien il y a un autre domaine par lequel le croyant exprime sa reconnaissance à son Sauveur, c’est une réorientation partielle ou totale de son activité. Il est devenu membre de toute une nouvelle famille qui, même localement est plus grande que sa famille naturelle et qui a une dimension mondiale : la famille de Dieu, l’Église.

Comme partie de cette nouvelle famille le chrétien redistribue ses activités, en abandonne certaines, en entreprend d’autres ou en change totalement. Notre Seigneur n’est pas venu se faire servir, mais pour servir lui-même. C’est donc un honneur que de pouvoir lui emboiter le pas dans le même esprit, nous sommes sauvés pour servir.

La sanctification, mon désir de remercier le Seigneur et de lui plaire, va donc dans ces deux directions : vers l’intérieur, développer une mentalité qui honore mon Sauveur ; vers l’extérieur placer Dieu au centre de ce que je fais et réviser ou compléter le programme dans cette nouvelle optique. C’est à cela que pensait Paul en disant que la justice reçue de Dieu vient de la foi et s’épanouit ensuite dans la foi 

Car je n’ai point honte (je suis fier) de l’Évangile : c’est la puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit, du Juif premièrement, puis du Grec. Romains 1.16

3. Des difficultés

La plus grande, c’est certainement que de tous les atouts énumérés tout à l’heure, aucun n’est visible. Je ne vois pas que Christ a vaincu le péché pour moi, que je ne suis plus esclave du péché, que le Saint-Esprit veut surmonter le péché dans ma vie.

Cette difficulté est normale et nous rappelle une réalité de base de la vie chrétienne : nous vivons guidés par la foi, non par la vue (2 Corinthiens 5.7) ou pour reprendre Romains 1.17 : la justice vient de la foi et s’épanouit dans la foi (Version Maredsous) ou encore plus clair : tout cela c’est par la foi seule, du commencement à la fin (Version Bonne Nouvelle Aujourd’hui).

Paul a bien prévenu : le juste vivra par la foi, de foi. Nous avons commencé par la foi en honorant la Parole de Dieu par notre foi et nous avons effectivement été sauvés, radicalement changés.

Eh bien, continuons ainsi, par la foi seule, du commencement à la fin, sachant que Dieu est fidèle à sa Parole. Il ne s’agit pas de  minimiser le problème , les chrétiens y butent autant les uns que les autres  et il est de taille.

C’est ce qu’on appelle parfois le problème  du déjà, et du pas encore.Paul nous dit :

Par notre union avec Jésus-Christ, Dieu nous a ressuscités ensemble et nous a fait siéger ensemble dans le monde céleste. Il l’a fait afin de démontrer pour tous les âges à venir, l’extraordinaire richesse de sa grâce qu’il a manifestée en Jésus-Christ par sa bonté envers nous. Ephésiens 2.6-7

Voilà pourquoi vous n’êtes plus des étrangers ou des résidents temporaires, vous êtes concitoyens des membres du peuple de Dieu, vous faites partie de la famille de Dieu. Dieu vous a intégrés à l’édifice qu’il construit sur le fondement que sont les apôtres, ses prophètes, et dont Jésus-Christ lui-même est la pierre principale.

En lui toute la construction s’élève, bien coordonnée, afin d’être un temple saint dans le Seigneur, et, unis au Christ, vous avez été intégrés ensemble à cette construction pour former une demeure où Dieu habite par l’Esprit. Éphésiens  2.19-21

Quant à nous, nous sommes citoyens du royaume des cieux : de là, nous attendons ardemment la venue du Seigneur Jésus-Christ pour nous sauver. Car il transformera notre corps misérable pour le rendre conforme à son corps glorieux par la puissance qui lui permet de tout soumettre à son autorité. Philippiens  3.20-21

Entre le « déjà » et le « pas encore »

Voilà des réalités fantastiques, quelques aspects de notre nouveau statut obtenu par le Crucifié. Et il ne faut pas les lire comme un rêve inaccessible, comme tous les rêves, Paul emploie le présent et même le passé, à côté de quelques  futurs. Voilà un aperçu du déjà réalisé par le Seigneur, de ce qui sera un jour notre seule réalité formidablement vraie, aussi certaine que notre salut aujourd’hui .

Mais si nous avons déjà réellement notre place dans ce monde (Jésus lui-même a dit qu’il allait nous la préparer en Jean 14.3 et viendra ensuite nous prendre avec lui), il est vrai aussi que nous sommes encore dans l’ancien monde. Et celui-là fonctionne comme s’il était impensable qu’il puisse un jour disparaître pour laisser place au nouveau.

Ce nouveau, ce « pas encore » est encore caché, il n’est présent que dans notre cœur et un peu visible que dans le rassemblement de ses citoyens. Mais si vous luttez contre l’influence que l’ancien monde veut exercer sur vous, ce combat démontre que le nouveau est déjà un peu là. Et si dans ce combat nous nous plaçons sur le terrain de la victoire remportée par le Seigneur, comme il nous y invite, nous croyons ainsi et nous annonçons qu’un jour seul le royaume de Dieu existera sur cette terre.

Déjà spirituel mais encore charnel

Une autre difficulté plus douloureuse, c’est que même si nous sommes d’accord avec Paul quand il dit« Nous qui sommes morts au péché, comment pourrions-nous encore vivre dans le péché ? » (Romains 6.2), nous nous retrouvons aussi dans cet autre constat de Paul :

Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle ; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne. Et maintenant ce n’est plus moi qui le fais, mais c’est le péché qui habite en moi. Ce qui est bon, je le sais, n’habite pas en moi, c’est-à-dire dans ma chair : j’ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien. Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. Romains 7.15-19

Dieu notre Père nous éduque avec amour et patience

Là il est précieux de savoir que notre Dieu est aussi notre Père. Un père qui apprend à son enfant à marcher ne le rejette pas, parce qu’il ne l’a pas écouté et est tombé. Il le relève, lui donne d’autres indications et reprend son instruction. Et Dieu a une patience dont nous sommes bien incapables, parce que le but qu’il s’est fixé il veut et va l’atteindre avec nous, si nous lui gardons notre confiance.

Voyez, c’est encore par la foi seule, du commencement à la fin ! Et heureusement il a promis : Mes petits enfants, je vous écris ces choses afin que vous ne péchiez point. Et si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus-Christ le juste.  1 Jean 2.1

a. Imaginez ce tableau :

un enfant vient de naître, faible et démuni de tout, comme tous les nouveau-nés.

«Ouf, enfin la longue claustration de neuf mois est terminée, le but est atteint, vite, mettez moi dehors dans la rue, je n’ai plus besoin de vous, ni de votre nourriture invariable, ni de vos soins envahissants, vous parents et frères et sœurs, ni même de votre toit ».

C’est d’une absurdité rare. Mais ce qui est beaucoup moins rare, ce sont les gens qui se comportent ainsi : moi, je me suis converti, j’ai mis ma vie en règle avec Dieu, mon avenir est assuré, je n’irai pas en enfer. Qu’est-ce que j’ai à faire d’une Église, d’ailleurs il y a là des gens que je préfère ne pas rencontrer. Pourquoi voulez-vous que je lise ce gros livre dont vous me parlez toujours ? Déjà je n’aime pas lire et n’en ai pas le temps, mais, bon, donnez-moi votre calendrier, je vais faire un effort pour vous faire plaisir.

b. Une autre absurdité qui n’est pas rare non plus ?

Je m’appelle Baptiste, vous savez, c’est cette grande famille qui habite dans la ville voisine, pas loin d’une autre famille assez vaste, appelée Pentecôte. C’est dans cette famille que je suis né, mais je n’y vais plus qu’une fois par semaine, le dimanche matin, quand je n’ai rien d’autre. Comment, y prendre ma place pour que ma vie serve à quelque chose  ? D’abord soyez poli. Moi, je fais mon travail correctement à l’entreprise, cela prend déjà l’essentiel de mon temps. Et puis les services dont on m’a parlé là-bas, je n’ai pas de don pour ça et il y a là des gens plus capables que moi et formés pour ça. Ensuite, ça risque de me prendre les quelques loisirs que j’ai.

Salut gratuit mais pas grâce à bon marché

Les deux cas sont un peu brutaux et excessifs, mais je crois que vous en avez saisi la leçon. Le remède pour chacune de ces dérives pourrait être d’essayer de mesurer une bonne fois et vraiment ce que c’est que ce salut gratuit qui n’est surtout pas une grâce bon marché.

Réfléchir à ce que cela veut dire tant aimer le monde pour lui donner, non pas le coup de grâce qui met fin une bonne fois à tous ces scandales, mais son Fils unique, et cela pour sauver, non pas les quelques uns qui en valent encore la peine, mais quiconque, non pas quiconque s’en montre digne, mais simplement quiconque croit, met sa confiance en ce Dieu qu’il connaît pourtant si peu.

La vraie motivation de la sanctification

La vraie motivation de l’aventure de toute une existence qu’est la sanctification, c’est la reconnaissance pour l’amour dispensé sans limite, pour l’incroyable libération reçue, pour la paix qui vous est alors tombée dessus et qui a transformé votre vie.

Pas de légalisme mais une relation personnelle avec le Sauveur

Quand j’ai fait mes premiers pas de chrétien, soucieux de bien faire, j’ai demandé à un de mes aînés spirituels ce que désormais je devrai éviter et ce que j’aurai encore le droit de faire. Et je n’ai pas été peu décontenancé quand il a souri en secouant la tête : « Non, ce n’est pas de ce côté, du côté d’un code de conduite qu’il te faut chercher. Approfondis plutôt ta relation personnelle avec ton Sauveur et c’est lui qui te guidera. Si tu l’aimes et veux lui faire plaisir, tu trouveras par toi-même le comportement qui l’honorera ! »

Cela m’est d’abord apparu comme une difficulté supplémentaire. C’est tellement plus rassurant d’avancer en territoire inconnu avec un itinéraire détaillé où tout est précisé. Mais j’ai quand même suivi ce conseil. J’y ai trouvé non seulement la direction fidèle du Seigneur, mais aussi la magnifique liberté de tout chrétien par rapport à tous les « il faut », « ne fais pas », « c’est pas normal »…

Votre conjoint ne vous a sans doute jamais remis une liste de tout ce que vous devez faire et ce que vous devez éviter. Il vous a simplement dit : « Je t’aime et je t’aimerai toujours ». C’est étonnant ce qu’une telle certitude peut donner comme idées pratiques !
Et, par dessus tout, revêtez-vous de l’amour qui est le lien par excellence ! 
Colossiens 3.14

J.J.Streng

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