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Traces d’un monde (K. A. Kitchen) : relations du monde ancien avec la Bible

Traces d’un Monde, Bible et archéologie

Trace d’un monde, Bible et archéologie K.A.Kitchen

traite des relations entre le monde biblique et l’archéologie contemporaine.
Il est édité par Les Presses Bibliques Universitaires en 1980  et diffusé par les Editions Excelsis. C’est la traduction française de The Bible In Its World. Exeter: Paternoster. Downers Grove: InterVarsity Press 1978.

Son auteur, Kenneth.A. Kitchen, est spécialiste d’égyptologie, professeur à l’Institut de Recherches Orientales à l’Université de Liverpool.

Dans ce livre destiné à un public cultivé mais non spécialiste, l’auteur se propose de faire partager son intérêt pour la recherche archéologique dans le monde ancien et de faire ressortir les relations de ce monde ancien avec la Bible.
Suivons donc le raisonnement de Kitchen et les étapes de sa démonstration à travers les chapitres du livre.

L’archéologie, une reconstitution du passé,

Le premier chapitre de Traces d’un mondel’archéologie, une clé pour le passé, permet à Kitchen de définir l’archéologie. C’est la reconstitution du passé de l’homme, du contexte biblique en particulier.

L’auteur souligne sa fiabilité mais il reconnaît aussi des difficultés qu’il expose dans des exemples. Ainsi, les constructions en briques de terre séchée étaient facilement détruites par l’érosion. Dans le tell (1) de Jericho les villes successives s’accumulaient sur leurs propres ruines. L’étude des fouilles à différents niveaux permet de déterminer les occupations successives des sites d’une région.

En les comparant avec les documents écrits, on peut situer l’histoire archéologique dans le déroulement de l’histoire dans son ensemble. Mais certaines données incomplètes ou défectueuses limitent les résultats.

Evolution de l’histoire de l’écriture

Ensuite vers 2300 à Ebla en Syrie apparaît l’écriture cunéiforme en forme de pointes de flèches.

Enfin, au milieu du 2ème millénaire, au sud de la Syrie et en Palestine, on trouve un alphabet consonantique(2) sur des documents publics et privés.

L’auteur en déduit que beaucoup de gens savaient lire et que vers 1000, l’écriture était utilisée quotidiennement par un grand nombre de gens.

Au commencement du monde

Le thème de l’origine du monde fait partie du patrimoine culturel du Proche-Orient ancien

Le chapitre 2, Au commencement du monde rappelle d’abord que le thème de l’origine du monde, commun à la toute première antiquité fait partie du patrimoine culturel du Proche-Orient ancien. En effet le paradigme ou modèle biblique des origines du monde en trois épisodes – création, déluge, vie des ancêtres fondateurs – a son parallèle dans les récits des autres peuples.

Au début du 20e s, on manquait de documents archéologiques. Les débuts de l’histoire du Proche-Orient ancien qui s’étend en fait de 10 000 à 2 000 ans avant J.-C, étaient repoussés à 3 500/3 000 seulement, au moment de l’apparition de l’écriture.

Premières fouilles et découverte de 80 siècles de civilisations

Les premières fouilles ont eu lieu dans les années 1930, avec des procédés de datation comme le Carbone 14. Elles ont permis de découvrir l’existence de cultures et de civilisations successives sur 80 siècles.

On a d’abord retrouvé des habitations sédentaires, avec élevage et agriculture, ensuite les premières villes du néolithique

La première Jericho décrite en détail

Tombe de Jéricho construite à l’âge du bronze IV (env 2400-2000 avt J.-C. Découverte par Kathleen Kenyon entre 1952 et 1958

C’est une bourgade de 2 000 habitants sur 4 hectares avec maisons rondes, remparts de pierre et tours de guet, cultures irriguées et commerce constituant une communauté bien organisée devant se défendre contre des ennemis.

Détruite, elle fait place à une autre ville aux maisons rectangulaires et au sol en stuc.
A travers tout le Proche-Orient, l’économie est fondée sur l’agriculture, l’élevage et un peu de commerce.

On construit des villages et villes en briques d’argile. On utilise des outils et des meubles variés. Un culte est rendu à des divinités personnifiant les forces de la nature.

De 6 000 à 3 200, l’éclosion des grandes civilisations antérieures à l’écriture.

L’auteur souligne l’utilisation très répandue de la poterie. C’est un instrument de travail privilégié de l’archéologie pour suivre l’évolution des influences culturelles et la succession des différentes cultures.

Il éveille aussi la curiosité du lecteur en donnant plusieurs exemples de l’état avancé des connaissances techniques et artistiques de l’époque et de la région. En Palestine, de 4 000 à 3 200 environ, des fresques illustrent la mythologie locale : un système d’irrigation très élaboré, des villes et des temples importants en Mésopotamie ; vers 3200 en Egypte, l’invention des hiéroglyphes.

De 3200 à 2000, le millénaire des splendeurs

Bibliothèque d’Assurbanipal à Ninive (Il régna de 668 à 630 avant J.C.). Contient la tablette de l’épopée de Gilgamesh. Photo prise au British Museum

C’est le début de l’histoire avec des documents écrits.
Elle est antérieure de plus de 1 000 ans à Abraham.

L’architecture, l’administration, les arts avec les inscriptions royales et la littérature religieuse, narrative et sapientiale (3) continuent leur essor dans toute la contrée, en parallèle avec les rivalités et les déclins des empires et de dynasties.

 

Regards sur 80 siècles d’histoire

une synthèse de la période en souligne l’intérêt. 2000 ans avant J.-C., le monde civilisé était déjà ancien. Des civilisations naissaient et disparaissaient. Les relations sociales étaient complexes. Bergers et agriculteurs entretenaient des relations personnelles avec le pouvoir politique (Cf. archives de Mari, début du 2e millénaire)

Certains spécialistes de l’Ancien Testament du 19e s, ne croyaient pas à l’existence réelle des patriarches, comme celle de Moïse, créateur de nombreuses institutions. Kitchen fait remarquer que ces lois et alliances étaient déjà formulées depuis longtemps. Des modes de vie développés existaient depuis plusieurs siècles. Abraham avait derrière lui 80 siècles d’expériences culturelles.

Retour aux origines

Kitchen reprend et développe la démonstration du parallèle entre le schéma littéraire de la Genèse et celui des autres textes de la période. Il y ajoute la notion commune de rupture entre l’humanité et la divinité.

Création dans les récits mésopotamiens et dans le texte biblique

Tablette du déluge

A propos de la Création, l’auteur critique les spécialistes du 19e siècle.

Ils considéraient le texte biblique comme une reprise de l’épopée babylonienne (Ennouma Elish ou Epopée de Gilgamesh). Il s’appuyaient sur des différences de mots, alors qu’on peut l’expliquer par un fonds commun du vocabulaire.

 

 

Il donne ensuite le détail des différences entre la Genèse et Ennouma Elish, l’une des deux grandes épopées babyloniennes terminée vers 1000 avant J.-C.

Les éléments communs sont inévitables comme l’ordre dans l’apparitions des éléments de la création : ciel puis terre, plantes, animaux puis hommes.

Quant aux récits mésopotamiens et au récit biblique sur le Déluge, ils proviennent d’une tradition commune avec plusieurs versions parallèles. Le plan est identique mais des détails divergent, tels que la taille et le modèle du bateau, et surtout la cause du cataclysme.

Dans l’Epopée de Gilgamesh, le texte mésopotamien, les dieux dérangés par le bruit des hommes décident arbitrairement de les détruire. Mais ils sont trahis par l’un d’eux qui avertit le héros Gilgamesh… Le récit biblique se distingue donc par sa sobriété.

Le déluge est mentionné aussi dans la liste royale sumérienne. Il ne peut donc s’agir d’un simple mythe. L’auteur admet la difficulté d’évaluer son ampleur. Il recommande aussi de ne pas perdre de temps à chercher l’arche sur le Mont Ararat

Âge inhabituel de certains personnages

Kitchen affronte aussi le problème de l’âge inhabituel de personnages. Ainsi Mathusalem, 969 ans (Genèse 5.27) ou les premiers rois sumériens avec des règnes durant jusqu’à 28 000 ans.

Il comprend le réflexe de tout rejeter, mais il signale que le processus archéologique demande d’agir avec prudence et précaution.

Mais preuve de leur existence

En comparant la liste royale sumérienne et la Chronique de Toummal avec Gilgamesh cité parmi les souverains historiques on peut en déduire que ce personnage a vraiment existé ainsi que d’autres du même genre. En 1959, deux inscriptions donnent la preuve de l’existence historique d’un roi de Kish qui aurait régné 900 ans selon la liste royale sumérienne.

Le fait qu’un document accorde à un personnage ou à un règne une durée beaucoup trop élevée ne signifie donc pas que la personne n’ait pas réellement vécu. D’autant plus si son existence est confirmée par ailleurs.

Enigmes résolues

Le lecteur appréciera des démonstrations, preuves à l’appui. Des questions difficiles peuvent être au moins partiellement élucidées. Ainsi, des énigmes comme l’âge des patriarches deviennent moins épineuses si des documents apportent la preuve de l’existence d’énigmes semblables chez les peuples voisins. On sait de plus que l’hyperbole (4) fait partie de toute la civilisation de la région.

Découvertes archéologiques et pertinence biblique

Le chapitre III, Ebla, reine de la Syrie ancienne tient compte des dix années de fouilles et de découvertes archéologiques.  Sur le site de Tell Mardik, elles ont été effectuées depuis 1964  par la mission archéologique italienne dirigée par le professeur Matthiae.

Kitchen donne une description détaillée de la ville avec une reconstitution de son histoire, c’est à dire de ses occupations successives.

Tell Mardik ou Ebla

Un fragment de statue découvert en 1968 comporte une dédicace du roi d’Ebla à la déesse Ishtar. Il  permet de se demander si le site de Tell Mardik est celui d’Ebla. Les données historiques et géographiques paraissent correspondre à Ebla. Elles sont acceptées comme telles par les responsables de l’expédition. Cependant,cette identification a provoqué la division parmi les savants du monde entier.

Tablettes cunéiformes à Ebla

En 1974-75, sont découverts un nouveau palais et 42 tablettes et fragments de tablettes en argile avec des inscriptions cunéiformes datant de 2300 environ avant J.-C. Sur ces tablettes, sont gravées des listes de fonctionnaires, des textes administratifs des contrats de vente, des listes de lois et des contrats de mariage. Et aussi des textes historiques, comme la correspondance entre des hauts fonctionnaires pour des affaires de l’Etat.

Rois et rivalités

L’auteur fait ensuite une relation détaillée des différentes phases de la rivalité entre Ebla et l’empire d’Akkad qui s’étendait sur toute la Mésopotamie. Un tableau à la page 60 donne la liste des rois ayant régné à Ebla, Mari, Akkad et en Assyrie.

Les pages suivantes développent ce qui concerne les rois d’Ebla. Elles parlent de leurs conquêtes et de leurs défaites, des traités passés avec leurs vassaux, des opérations commerciales de grande envergure. On retiendra la défaite et la destruction de la ville par Naram Sin, dernier roi d’Akkad. Son empire s’écroula à son tour une dizaine d’années après.

Ebla, troisième berceau de civilisations anciennes à côté de l’Egypte et de la Mésopotamie successivement détruite puis reconstruite n’était plus qu’un simple village à l’époque hellénistique.

Des écoles de langues

L’auteur illustre sa démonstration par des éléments de civilisation et de culture.
Des écoles existaient à l’époque : tablettes avec listes de mots par catégories, paradigmes de verbes, lexiques. Leur étude permettra de retracer le début de l’histoire des mots d’hébreu biblique et des langues voisines comme l’ougaritique et le phénicien (p. 65)

Ebla et l’Ancien Testament

Kitchen développe l’histoire des relations entre Ebla et l’Ancien Testament dans le domaine linguistique (5) et onomastique (6). Le groupe sémitique occidental a une histoire ancienne de 2500 ans. Les spécialistes n’ont donc plus lieu d’attribuer, comme au début du 20ème siècle, une origine tardive aux mots hébreux.

Il signale aussi que le Professeur Pettatino, membre de l’expédition archéologique a trouvé des ressemblances entre les noms propres d’Ebla et ceux de personnages bibliques. Ainsi, Eber, Israël, Ismaël et autres noms courants dans la Bible sont portés par des êtres humains et non par des dieux ou des personnages légendaires.

Les dieux cananéens cités dans l’Ancien Testament voient leur histoire prolongée jusqu’au 3e millénaire avant J.-C. Le plan du Temple d’Ebla se retrouve dans ceux de Syrie Palestine.

L’organisation des cultes, les sacrifices, les rites ont une caractéristique constante dans tout le Proche-Orient ancien de la Préhistoire à l’époque gréco-romaine…

Ebla, une confirmation de la réalité du monde biblique

Le chapitre sur Ebla peut être qualifié de passionnant. Les découvertes archéologiques permettront au lecteur de découvrir et d’apprécier des données encore ignorées ou peu connues. Il  pourra alors les rapporter au domaine de la Bible et de son environnement.

L’ancienneté d’Ebla éclaire ainsi utilement le contexte historique de la Bible, en particulier celui des langues sémitiques occidentales. Cependant il faut attendre une étude approfondie des documents eux-mêmes.

L’ existence d’une aussi grande civilisation, aussi avancée dans son architecture avant les débuts de l’âge historique, le grand nombre de vestiges retrouvés est une confirmation éclatante. Le monde biblique n’est pas une reconstruction théorique ou imaginaire mais il s’inscrit dans la réalité et la durée.

Pertinence du récit biblique

Les limites de la méthode historico-critique

Des données négligées et une théorie contestable

Dans le chapitre IV, Les « Pères fondateurs » en Canaan et en Egypte et en particulier dans le premier sous-titre Un siècle de controverses : Pères fondateurs ou personnages fictifs?

Kitchen pose d’emblée les limites de la méthode historico-critique allemande du 19ème siècle. Pour Wellhausen en 1927 et pour Eisfeld en 1965, l’histoire des Pères fondateurs ou patriarches a été écrite à une époque plus tardive de 1000 ans et refléterait cette époque. Elle aurait ensuite été renvoyée dans le passé. Pour Gunkel, ce sont des légendes à propos de tribus personnifiées.

Kitchen reconnaît à ces écrivains critiques une fonction de clarification. En effet « ils dénoncent les mauvais arguments. Ils insistent aussi sur la nécessité de prendre en considération toutes les époques (et pas uniquement le 2e millénaire) à propos du contexte des récits patriarcaux.

Mais, remarque-t-il, ils négligent en réalité les données du 2e et du 3e millénaire pour s’attacher exagérément aux données du 1e millénaire. Ils soutiennent aussi « avec des arguments tortueux et saugrenus« (p. 82) la théorie contestable selon laquelle les patriarches sont des fictions imaginées 1000 ans après.

Les patriarches : des personnages vraisemblables dans un contexte réaliste

Evoquant les chapitres 11 à 50 de la Genèse, Kitchen retrace brièvement l’histoire d’Abraham et de ses descendants. Il relève certaines constantes. Tous ces personnages « sont de simples êtres humains » (p. 86). Les récits de la Genèse sont donc les seuls documents les concernant.

Il accorde au chercheur le droit de « choisir entre différentes options au sujet de la nature de ces récits » (p. 87) : soit de la fiction, soit des faits historiques, soit des récits concernant des personnages réels, embellis et améliorés au cours des siècles.
Il admet l’absence de preuves directes à propos de l’existence des patriarches (si on exclut le récit biblique). Mais il appelle à une comparaison avec les documents du Proche-Orient ancien.

Etude du contexte littéraire des récits bibliques détaillée et pertinente

En Egypte, il distingue en premier lieu les autobiographies historiques, ensuite les légendes historiques rédigées longtemps après à propos de personnages historiques célèbres, enfin les histoires purement imaginaires. Il retrouve les mêmes schémas en Syrie Palestine et en Mésopotamie.

Pas de merveilleux légendaire mais réalisme

Mais les textes concernent les patriarches, leur vie courante, leurs réalités quotidiennes n’ont rien à voir avec le merveilleux légendaire. Ils portent des noms réels et vivent dans des endroits réels.

Il insiste sur le réalisme des situations, le style simple, non épique. Ces récits qu’il classe entre « la première et la deuxième catégorie des récits du Proche-Orient ancien sont plus proches de récits historiques que de récits légendaires ».
Posant la question de l’existence historique des patriarches, il les place par déduction au 17e siècle et avant leur entrée en Egypte.

Les écrits bibliques, une transmission fidèle des traditions patriarcales

A propos de la date de rédaction des écrits, il critique la position minimaliste, qualifiée de désuète. Elle réduit la rédaction des écrits à de vagues traditions regroupées après coup beaucoup plus tard, sous la monarchie. Il lui reproche de ne pas tenir compte de phénomènes anciens, de ne pas mesurer les différences avec les récits légendaires.

Les récits bibliques, à son avis proches du genre historique, ont été composés à une date ancienne, probablement le 13e siècle. Il envisage aussi de manière positive le problème de la fidélité de la transmission des traditions patriarcales.

Il utilise une approche comparative des listes d’ancêtres, en particulier royales mais aussi privées en Assyrie, Anatolie, Syrie, Egypte à partir du 2e millénaire avant J.-C.

Transmission exacte des noms et des traditions

Il apprécie aussi l’exactitude de la transmission des traditions, dans le domaine des noms propres, courants dans toute la région au 2e et parfois au 3e millénaire. On peut aussi remarquer la transmission des traditions dans les coutumes sociales et juridiques et dans le statut conjugal et familial et celui des héritages en milieu polygame.

Il établit ainsi des rapprochements entre ces coutumes et les récits ayant rapport à la descendance d’Abraham. Il rejette de prétendus parallèles avec les textes de Nuzi ainsi que la comparaison entre la transaction de Sarah et d’Abraham à propos d’Hagar, avec un mariage assyrien du 7ème siècle considéré seulement comme récit parallèle.

Peuple hébreu et civilisations voisines

Le chapitre se termine par l’entrée d’Israël en Egypte avec Joseph qu’il situe dans la première moitié du 2ème millénaire : prix des esclaves, utilisation comme intendant, rôle des rêves, blé et les famines correspondent aux données égyptiennes de l’époque.

L’intérêt de ce chapitre tient aux relations précises que l’auteur établit entre le peuple hébreu et les civilisations voisines. Monuments, palais, inscriptions, poteries, manuscrits et autres documents sont les témoins d’un monde consistant qui naît, évolue et disparaît. Mais il laisse assez de traces pour que le chercheur futur puisse y reprendre ses investigations.

Notes
1.Tell : « un site en forme de monticule qui résulte de l’accumulation de matières et de leur érosion sur une longue période, sur un lieu anciennement occupé par les hommes. Il s’agit d’une colline artificielle formée par les différentes couches d’habitations humaines » d’après Wikipedia
2. Alphabet consonantique : alphabet qui note seulement les consonnes (arabe, hébreu)
3. Littérature sapientiale : écrits de sagesse, particulièrement dans les cercles de pouvoir du Proche-Orient ancien
4. Hyperbole : figure de style consistant à exagérer le sens d’une idée ou d’une réalit
5. Etude du langage
6. Etude des noms propres

C. Streng